M. et Mme. I. sont suédois, non-résidents, et possèdent une maison en Espagne. Ils acquièrent cette propriété à Pedro del Pinatar (Murcie) en 2008, la considérant bon marché. En 2010, ils reçoivent une lettre de l’Autorité Fiscale espagnole les informant qu’ils ont déclaré une valeur dans leur Acte de propriété bien inférieure à la valeur réelle de la propriété et qu’ils n’ont, en fait, pas acquitté suffisamment de droits de mutation. Ils devaient acquitter 4.500€ additionnels. Lorsque M. et Mme. I. ont recours à leur représentant fiscal, elle leur confirme qu’il n’y a rien à faire et qu’ils doivent régler la réclamation.
M. et Mme. I. avaient entendu parler de cas similaires au leur en lisant un article publié par Ábaco dans un journal. Ils contactent l’assistance téléphonique et expliquent leur situation au conseillé suédois. Elle leur confirme qu’ils ont encore la possibilité de faire appel de cette décision et souligne qu’Ábaco sera heureuse de le faire en leur nom. Le couple décide de faire appel et engage Ábaco. L’appel est couronné de succès et M. et Mme. I. conservent leurs 4.500€.